Yara Shahidi fait son apparition sur le tapis rouge lors d’un événement de mode à Londres

Yara Shahidi a assisté au deuxième événement annuel de Vogue World qui marque le début de la Fashion Week de Londres (Getty Images).
Yara Shahidi a assisté au deuxième événement annuel de Vogue World qui marque le début de la Fashion Week de Londres (Getty Images).
Short Url
Publié le Samedi 16 septembre 2023

Yara Shahidi fait son apparition sur le tapis rouge lors d’un événement de mode à Londres

  • Yara Shahidi a fait tourner les têtes en foulant le tapis rouge à Londres
  • Winnie Harlow portait une robe du créateur libanais Zuhair Murad

DUBAÏ: L'actrice Yara Shahidi, qui a également une origine moyen-orientale, a fait tourner les têtes cette semaine en foulant le tapis rouge lors d’un événement de mode à Londres jeudi.

Elle a assisté au deuxième événement annuel de Vogue World qui marque le début de la Fashion Week de Londres.

La star de «Grown-ish» portait une robe violet foncé de la collection de prêt-à-porter automne/hiver 2023 de la superstar et créatrice britannique Victoria Beckham.

La mannequin canadienne Winnie Harlow était également présente à cet évènement qui a eu lieu au Théâtre Royal, Drury Lane. Elle a posé sur le tapis rouge, vêtue d'une robe en velours noir avec une volumineuse cape blanche arrivant jusqu'au sol, du designer libanais Zuhair Murad.

ds

La robe avait un décolleté plongeant, Winnie Harlow complétant le look avec de longs gants noirs et des bijoux en diamant scintillants.

Outre Yara Shahidi et Winnie Harlow, on notait la présence d'autres mannequins, de légendes du cinéma ainsi que des membres de la famille royale, notamment Rita Ora, Simone Ashley, la princesse Béatrice, Kate Moss, Cara Delevingne, Adwoa Aboah, Ashley Graham, Poppy Delevingne, Stella McCartney, Carey Mulligan et bien d'autres encore.

Sophie Okonedo, Stormzy, Sienna Miller, Damien Lewis, James McAvoy et FKA Twigs ont également participé à l'événement.

La Fashion Week de Londres commence le 15 septembre et se poursuivra jusqu'au 19 septembre.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Nadim Karam évoque l'influence japonaise et les réalités du travail artistique

L'artiste a récemment participé à l'exposition "The Sublime Nature of Being" à Dubaï. (Photo: fournie)
L'artiste a récemment participé à l'exposition "The Sublime Nature of Being" à Dubaï. (Photo: fournie)
Short Url

DUBAI : À l'issue d'une exposition collective à Dubaï, intitulée "The Sublime Nature of Being", Arab News a rencontré l'artiste et architecte libanais Nadim Karam pour évoquer ses inspirations, le pouvoir du mentorat et « l'horloge qui bat dans la poche supérieure de (sa) chemise ».

Ce créateur pluridisciplinaire se concentre sur des sculptures à différentes échelles, ainsi que sur des œuvres sur papier et des projets d'art public spécifiques à un site.

Il a récemment participé à l'exposition "The Sublime Nature of Being" à Dubaï, en collaboration avec le programme ICD Brookfield Arts, où il a présenté son "Penseur silencieux" en acier inoxydable poli.

"La clarté trouvée dans le silence intérieur est à la fois opposée et complémentaire au stimulus et à l'inspiration que l'on peut trouver dans la scène multiculturelle florissante de Dubaï", a-t-il expliqué.

Les années de formation de M. Karam au Liban et ses études de doctorat au Japon continuent d'avoir une influence déterminante sur son travail. Il a étudié auprès des architectes japonais Fumihiko Maki, Tadao Ando et Hiroshi Hara, décédé en janvier.

"Le professeur Hara a profondément influencé mon processus de réflexion. La chose la plus importante que j'ai apprise de lui est la discipline qui consiste à appliquer un concept philosophique à un processus créatif et à aboutir à un produit, qui peut être un bâtiment architectural, une sculpture ou un objet conçu", a déclaré M. Karam.

« Grâce à ses diverses études - des philosophies bouddhistes à la double négation d'Arazu-Arazu, en passant par ses recherches sur les villages du monde entier et son intérêt profond pour les mathématiques, la musique et la cosmologie - il m'a appris à élargir ma vision du monde et à me déplacer constamment à la limite des frontières floues pour mieux comprendre et accepter le monde complexe qui m'entoure », a-t-il confié.

Hara, l'architecte connu pour avoir conçu le bâtiment de la gare de Kyoto et l'Umeda Sky Building d'Osaka, est à l'origine de bâtiments primés tels que le musée d'art de Tasaki dans la préfecture de Nagano et le bureau de Yamato International Inc. à Tokyo, dans le quartier d'Ota au Japon.
Les peintures et les sculptures de Karam ont été exposées dans le monde entier et, en 2002, il a coprésidé la conférence des Nations unies et de l'université de New York à Londres pour la reconstruction de Kaboul, en Afghanistan.

--
(Photo: founie)

Lorsqu'il endosse son rôle de conservateur – M. Karam a été le conservateur du Liban à la Biennale de Rotterdam en 2003, entre autres – il considère que sa mission est de faciliter la vision de l'artiste.

"Je donnerais la priorité à l'artiste, car je suis moi-même un artiste ! Lorsqu'il déploie toute l'étendue de son talent, l'œuvre touche le visiteur au plus profond. Dans le processus de création, l'aspect fondamental est de rester fidèle à soi-même, sans se laisser influencer par d'autres critères. Le rôle du conservateur, dès lors, est de situer les œuvres dans leur contexte, en répondant aux questions du où, du comment et du pourquoi", a-t-il révélé.

Compte tenu de son emploi du temps aussi chargé, il est surprenant que l'artiste trouve le temps de travailler. Le tic-tac de l'horloge est d'ailleurs un élément auquel M. Karam prête une attention particulière.

"L'horloge qui bat dans la poche supérieure de ma chemise me pousse toujours vers l'avant, m'envoie des avertissements et planifie mon travail, en particulier dans le cas de la production de sculptures et de projets d'art public qui nécessitent un mécanisme structuré complexe pouvant impliquer des centaines de personnes, en fonction de l'échelle et de la nature de l'œuvre", a-t-il déclaré, notant que l'écriture et la peinture sont des exutoires créatifs qui lui offrent la possibilité de ralentir le rythme.

« Quand je suis seul, même la notion du temps s'efface, et il ne reste que la peinture », a conclu M. Karam.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Les contes du Jour de la fondation prennent vie lors des célébrations de la Diriyah

L'histoire de la princesse Modi bint Khalid Al Saud racontée lors des célébrations du jour de la fondation de Diriyah. (Photo AN)
L'histoire de la princesse Modi bint Khalid Al Saud racontée lors des célébrations du jour de la fondation de Diriyah. (Photo AN)
Short Url
  • Des représentations théâtrales, de la musique et des expositions éducatives permettront de retracer l'histoire de la nation.
  • La danse bédouine ancienne est l'un des temps forts de cet événement de trois jours.

RIYAD : Un conte vieux comme le monde, Diriyah, cœur du Royaume et théâtre de son premier chapitre, a célébré la Journée de la fondation avec une série de représentations musicales, de spectacles et d'expositions historiques qui se sont achevés dimanche.

Les familles et les invités de tous âges et de toutes nationalités ont été accueillis à Diriyah pour en savoir plus sur la création du premier État saoudien.

Des leçons d'histoire ont été dispensées grâce à des spectacles de théâtre d'ombres, des quiz Kahoot, des écrans interactifs et des projections retraçant l'histoire du Royaume à l'intérieur du palais.

Des groupes musicaux ont accompagné les visiteurs en interprétant des chansons traditionnelles et culturelles, et en chantant les batailles menées et gagnées.

Vincent Pomer, un visiteur de Boston (États-Unis), qui rend visite à un ami au Royaume, a déclaré à Arab News : « J'éprouve un sentiment de satisfaction et de paix en voyant que tout le monde respecte son passé.

« En tant qu'Américain, j'assimile cela au 4 juillet. Nous célébrons le 4 juillet non pas tant pour notre liberté que pour notre histoire éphémère... Le jour de la fondation est l'équivalent de cette fête en Arabie saoudite ».

L'un des temps forts des célébrations a été le spectacle du Samri, une danse et une musique bédouines originaires du Najd. Vieux d'environ 300 ans, le Samri était traditionnellement exécuté lors des soirées de désert en compagnie des familles. Deux rangées d'hommes s'agenouillaient, se balançaient et applaudissaient tout en chantant des poèmes et en frappant sur un tambour Daf.

Les célébrations comprenaient également des ateliers pour les enfants et les familles portant sur diverses compétences, telles que la parfumerie, le dessin, la peinture et la fabrication de bracelets.

Arab News a interrogé Umar Sial, un Pakistanais qui vit en Arabie saoudite depuis six mois, pour lui demander quels étaient les points forts de sa visite à Diriyah en compagnie de sa famille.

« Nous venons pour la première fois ici. Nous avons visité la terrasse Bujairi et le quartier Al-Turaif, et je pense que c'est très intéressant, en particulier le patrimoine ancien qu'ils mettent en valeur », a-t-il déclaré.

« Sur le plan culturel, c'est très instructif pour les nouveaux arrivants.

L'attraction préférée de M. Sial a été de voir à quoi ressemblaient les anciennes maisons du palais de Salwa et comment les gens vivaient autrefois, ainsi que de voir les chanteurs et les danseurs qui se sont produits tout au long de l'événement.

Selon Mme Sial, les ressortissants étrangers ont tout intérêt à participer à ce type d'événements pour renforcer leurs liens culturels avec le Royaume.

« Vous voyez comment ils sont élevés, comment ils parlent, à quoi ressemblent leurs chansons, comment ils mangent, comment fonctionne leur système familial ; vous voyez que leur famille est tout autour d'eux.

« Je pense que c'est très important pour comprendre comment fonctionne la culture en Arabie saoudite », a-t-il déclaré.

L'Arabie saoudite est réputée pour sa gastronomie, comme l'ont montré de vraies familles saoudiennes lors de tous les itinéraires.

Chacune de ces familles avait son propre stand et avait préparé des plats traditionnels tels que le saleeg, le foul, etc., qui ont été distribués gratuitement aux visiteurs.

Des personnages historiques tels que l'imam Mohammed bin Saud, le père fondateur du premier État saoudien, et son épouse, la princesse Modi bint Khalid Al Saud, ont été mis sur le devant de la scène lors de spectacles racontant leur histoire au cours des segments de la soirée consacrés au souvenir de la Diriyah. Ces spectacles détaillent le parcours complet de l'imam Mohammed bin Saud dans la consolidation des premiers jours du Royaume.

Melissa Sarawi, une habitante des Philippines qui séjourne en Arabie saoudite avec sa famille, a déclaré à Arab News que les aspects les plus passionnants de la culture saoudienne pour les étrangers étaient la nourriture et les gens.

Mme Sarawi a déclaré qu'en tant que musulmane, il était fascinant de découvrir l'islam à partir de son lieu de naissance et de ses liens historiques avec l'Arabie saoudite.

« Venir ici et vivre la journée de la fondation est une très bonne chose, c'est très nouveau pour moi. Je suis musulmane par nature et par naissance, et il est très enrichissant d'en apprendre davantage sur ces choses à Riyad, comme l'histoire de l'islam et tous ces lieux historiques... C'est rafraîchissant de découvrir tout cela. »

Les participants au concours Rawi Al-Diriyah, un concours de narration organisé conjointement par le ministère de l'Éducation et l'Autorité de développement de la porte de Diriyah, qui invite les élèves à réciter des histoires historiques de Diriyah, ont également été mis à l'honneur au cours de ces récitals.

D'autres activités ont été organisées, notamment un concours hippique et une présentation du cheval arabe, de la tenue traditionnelle najdi et de la poésie en direct.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com  


Le spectacle saoudien Ardah établit un record mondial Guinness à Riyad

Les célébrations du jour de la fondation ont permis d'établir un record mondial Guinness pour le plus grand spectacle d'Ardah saoudien à Riyad. (SPA)
Les célébrations du jour de la fondation ont permis d'établir un record mondial Guinness pour le plus grand spectacle d'Ardah saoudien à Riyad. (SPA)
Short Url
  • Présenté lors d'occasions spéciales, ce spectacle met en valeur le patrimoine du Royaume.
  • Il commence par la récitation d'un poème, suivie de la venue des tambours qui donnent le rythme aux danseurs.

RIYADH : Les célébrations du jour de la fondation ont permis d'établir un record mondial Guinness pour le plus grand spectacle d'Ardah saoudien à Riyad, avec 633 participants dansant sur cette danse traditionnelle.

Cette réussite souligne le caractère profondément national de l'Ardah, reflétant la fierté de l'identité saoudienne et l'engagement à préserver et à promouvoir le patrimoine culturel dans le monde entier, a rapporté l'agence de presse saoudienne (Saudi Press Agency).

Organisé par la Commission royale pour la ville de Riyad et la région de la Principauté de Riyad, du 20 au 23 février, l'événement du Jour de la fondation a attiré des centaines de milliers de visiteurs d'horizons divers.

Présenté lors d'occasions spéciales, le spectacle met en valeur le patrimoine du Royaume. Il commence par la récitation d'un poème, suivie de la venue des tambours qui donnent le rythme aux danseurs.

Le chef de groupe entre ensuite en scène, brandissant une lame et exécutant des mouvements précis qui rappellent ceux des guerriers au combat.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com