The Anticipation of Rain, ode à la nature signée Naima Karim, au Festival du film saoudien à Ithra

Naima Karim s’inspire de la nature pour réaliser ses œuvres d’art. (Instagram/naimakarim_)
Naima Karim s’inspire de la nature pour réaliser ses œuvres d’art. (Instagram/naimakarim_)
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Publié le Mardi 09 mai 2023

The Anticipation of Rain, ode à la nature signée Naima Karim, au Festival du film saoudien à Ithra

  • L’œuvre virtuelle immersive de Naima Karim The Anticipation of Rain a conquis les visiteurs du Festival du film saoudien, à Ithra
  • The Anticipation of Rain est le premier projet de réalité virtuelle immersif réalisé par Naima Karim

DHAHRAN: Le public du Festival du film saoudien a été enthousiasmé par les œuvres d’une artiste bangladaise d’origine hollandaise. Atteinte d’une maladie neurologique, Naima Karim a consacré son amour de la nature à l’art.

The Anticipation of Rain («Anticiper la pluie»), ode à la force et à la beauté de la nature, a conquis les spectateurs, qui ont vécu une forme d’aventure virtuelle.

Naima Karim terminait ses études lorsque sa vie a pris un virage inattendu.

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Une série d’images extraites du spectacle intitulé The Anticipation of Rain. (Photo fournie)

Voici en quels termes elle raconte son histoire: «Une maladie neurologique m’a complètement paralysée en 1999. Mon rétablissement a pris beaucoup de temps et je suis restée clouée au lit. Je contemplais la beauté de la nature qui m’entourait. C’est ce qui m’a aidée à guérir et à marcher de nouveau.»

«Je rêvais chaque jour de courir dans un champ d’herbe, au-dessus d’un ciel magnifique et sans limites. Ce sont ces paysages qui m’ont le plus inspirée lorsque j’ai repris la peinture en 2015, après une longue période d’interruption.»

En 2013, Naima s’est installée avec sa famille en Arabie saoudite. C’est dans le Royaume qu’elle a présenté ses œuvres d’art pour la première fois.

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Une série de dessins extraits du spectacle intitulé The Anticipation of Rain. (Photo fournie)

«J’ai présenté ma première exposition individuelle à la galerie d’art de Dhahran en 2016. Depuis, j’ai essayé de travailler avec différents types de peinture comme l’aquarelle, l’acrylique, l’huile, entre autres.»

«J’ai recouru à la réalité virtuelle au moment où j’ai voulu créer une œuvre qui transcende mes tableaux. Je voulais que mon public se plonge pleinement dans la pluie de mousson», explique-t-elle.

The Anticipation of Rain est le premier projet de réalité virtuelle immersif réalisé par Naima Karim. Comme elle ne maîtrisait pas les techniques, elle s’est inscrite à des cours de perfectionnement du Creative Solutions Program, auquel elle a présenté son idée.

Focus

The Anticipation of Rain est le premier projet de réalité virtuelle immersif réalisé par Naima Karim. Il a concouru au Virtual Reality Social Impact Award, organisé par AIXR, et au concours Crystal Owl Awards, organisé par Stereopsia Europe. Il a également été présenté au plus grand festival de documentaires du monde, le Festival international du film documentaire d’Amsterdam.

«Pour créer un paysage en trois dimensions, je me suis servie de la technologie Open Brush, une application de réalité virtuelle. J’ai toutefois peint les éléments comme je le fais pour les dessins sur les toiles. J’ai préféré conserver mon style, même en travaillant en trois dimensions. J’ai donc utilisé les coups de pinceau longs. Ces derniers m’ont permis d’effectuer les mouvements que je ne pouvais pas faire à cause de ma paralysie», confie l’artiste.

Naima se souvient des moussons qu’elle voyait au Bangladesh, où elle a grandi. Pour elle, il s’agit d’un véritable spectacle et une expérience passionnante.

«Mon aventure dans le monde de la réalité virtuelle s’articule autour de trois éléments: la pluie de mousson, qui me fascine beaucoup, mon rétablissement après cette paralysie qui a fait de moi une personne optimiste et l’envie de pousser les spectateurs à admirer la beauté qui nous entoure et à préserver le monde dans lequel nous évoluons», ajoute Naima Karim.

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Mohammed Almadani est responsable du programme de RV à Ithra. (Photo d’AN)

Dans le cadre du Festival de RV organisé par le Centre du roi Abdelaziz pour la culture mondiale (Ithra), deux papiers aromatisés sont remis aux visiteurs. Le parfum qui s’en dégage rappelle l’odeur de la pluie et sollicite pleinement les sens.

«Je voulais que les personnes qui contemplent mon travail ressentent ce sentiment qui nous envahit lorsque l’orage se déchaîne. Un sentiment à la fois effrayant, excitant et magnifique. L’humidité monte avant la pluie, et, lorsqu’il pleut, l’odeur associe pluie et terre.»

«Pour que les spectateurs vivent intensément l’expérience de la mousson, j’ai collaboré avec un créateur de parfums pour obtenir les senteurs que dégagent l’humidité et la pluie.»

The Anticipation of Rain vise à insuffler à ceux qui l’observent l’espoir, qui nous permet d’aller de l’avant et nous incite à réaliser nos rêves.

Naima Karim, artiste

Cette œuvre a vu le jour à Ithra. Elle a été présentée pour la première fois sur l’esplanade de l’Ithra avant de participer à des festivals à travers le monde. «Elle est actuellement projetée au Festival du film saoudien. Elle a concouru au concours Creative Solutions», précise Naima, qui est en train de préparer son deuxième projet de réalité virtuelle.

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L’œuvre de réalité virtuelle de Naima Karim est présentée au Festival du film saoudien, à Dhahran. (Photo fournie)

Mohammed Almadani, responsable du centre de réalité virtuelle d’Ithra, déclare: «C’est comme si je me trouvais sur une île isolée au milieu de la nature et que j’étais entouré de paysages magnifiques et envoûtants. Les parfums donnent l’impression que ce que nous vivons est réel – comme s’il pleuvait vraiment.»

«Je vous invite tous à vivre cette expérience virtuelle unique et interactive. Elle vous transportera dans un autre monde», affirme-t-il.

«The Anticipation of Rain vise à insuffler à ceux qui l’observent l’espoir, qui nous permet d’aller de l’avant et nous incite à réaliser nos rêves», conclut Naima Karim.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Semaine de l'art de Riyad : œuvres sélectionnées d'artistes saoudiens participant à l'édition inaugurale

Une œuvre de Bashaer Hawsawi à la Semaine de l'art de Riyad. (Photo Fournie)
Une œuvre de Bashaer Hawsawi à la Semaine de l'art de Riyad. (Photo Fournie)
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  • Des œuvres sélectionnées de certains des artistes saoudiens pour l'inauguration de cette semaine artistique.

RIYADH : Des œuvres sélectionnées de certains des artistes saoudiens participant à l'édition inaugurale de la Semaine de l'art de Riyad, qui débute le 6 avril.

Maha Malluh 

X-Rayed 1

L'artiste originaire du Najd est l'une des figures les plus significatives de la scène contemporaine du Royaume. Plusieurs de ses œuvres seront exposées à l'AWR. Celle-ci est issue de sa série "X-Rayed", dans laquelle Malluh a utilisé des images provenant d'un véritable scanner à rayons X des bagages d'un véritable passager, comme on le verrait à la sécurité de l'aéroport lorsque les biens sont "ciblés et examinés à la loupe", a écrit l'artiste. "Ce qui rend ces images encore plus étranges, c'est que les valises contiennent des cassettes (étiquetées en arabe) qui sont liées à des interprétations dogmatiques de la pratique islamique", poursuit-elle. "Ce sont ces idées, lorsqu'elles sont exportées, qui ont conduit à plusieurs maux sociaux, y compris l'exportation de pensées extrêmes et de philosophies rigides. Comme beaucoup d'autres séries de Malluh, "X-Rayed" examine "ma propre culture et sa transformation de la tradition à la modernité".

Lulwah Al-Homoud 

Extrait de "The Language of Existence" (Le langage de l'existence)

Cette œuvre fait partie de la série "The Language of Existence" de l'influente artiste et calligraphe née à Riyad, dans laquelle elle présente des interprétations de la myriade de noms arabes d'Allah. Selon la galerie, cette série "réimagine le langage comme un système visuel universel, transcendant la signification conventionnelle pour créer une nouvelle forme de communication". Al-Homoud a créé ce "langage" en "déconstruisant les lettres de la langue arabe en utilisant des carrés mathématiques pour composer de nouveaux codes pour chaque lettre. Avec ces codes, j'inscris les 99 noms de Dieu", a-t-elle écrit. "Le premier pas vers l'illumination est la recherche de l'intérieur. C'est cette vérité intérieure qui mène à la lumière de la connaissance. Mon art s'intéresse à la véracité intérieure de toute chose. C'est un regard profond sur la création et ses règles cachées qui m'a conduit à la vérité de l'existence..."

Ahmed Mater

Hulm" (Rêve)

Dans son œuvre de 2011 "Cowboy Code II", Ahmed Mater utilisait des capsules de poudre de pistolet en plastique collées sur une planche de bois pour épeler, en anglais, les différentes "règles" qu'il avait imaginées. Dans cette œuvre plus récente, Mater utilise la même technique pour présenter le mot arabe hulm, qui se traduit par "rêve". On ne sait pas s'il s'agit d'une instruction, d'un commentaire sur ce que les visiteurs de Riyad peuvent expérimenter ou d'une explication de son inspiration pour l'œuvre, mais c'est l'une des nombreuses œuvres similaires que le natif de Tabuk, âgé de 45 ans, sans doute l'artiste contemporain saoudien le plus influent, présentera à l'AWR (les autres comprennent "Hurriya" (Liberté) et "Salam" (Paix)).  

 Manal AlDowayan 

Totem 1 (Chères femmes)

L'artiste prolifique née à Dhahran a représenté le Royaume à la Biennale de Venise l'année dernière (avec "Shifting Sands : A Battle Song") et, sans surprise, participe à ce qui est peut-être l'événement artistique le plus important à avoir eu lieu dans le Royaume. Parmi plusieurs de ses œuvres exposées à l'AWR figure cette pièce de 2018, qu'AlDowayan a décrite comme "une tentative de création d'un mémorial permanent d'un moment fragmenté".  

Elle poursuit : "Je regarde les symboles utilisés sur les couvertures des livres écrits par les hommes religieux pour parler des femmes et de leur corps. J'essaie de transformer ces symboles en de nouvelles représentations pour que l'invisible devienne visible". L'œuvre n'est pas, souligne-t-elle, "une tentative de critique ou d'analyse de l'histoire, mais plutôt un totem de guérison qui aide à résoudre le passé afin de s'engager dans le présent et le temps en général".

 Bashaer Hawsawi 


Espace chaud 1

Une grande partie de la pratique de cet artiste visuel basé à Djeddah s'articule autour d'objets trouvés et de techniques mixtes, explorant, selon theartists.net, "les notions d'identité culturelle, de purification, d'appartenance et de nostalgie". Le nettoyage est au cœur de cette œuvre qui, comme plusieurs autres œuvres de Hawsawi, utilise les têtes de balai à poils rouges, familières à tous ceux qui vivent dans le Golfe et représentatives des routines quotidiennes dont Hawsawi s'inspire pour une grande partie de son travail. Cleansing est également porteur d'un symbolisme spirituel - la purification du moi - qui apparaît régulièrement dans l'œuvre de Hawsawi. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Un orchestre célèbre les bandes originales de jeux vidéo populaires à Ithra, en Arabie saoudite.

L'événement qui s'est déroulé à Ithra a permis de découvrir des musiques de Guild Wars 2, World of Warcraft, The Witcher 3 et Assassin's Creed 2, entre autres. (Photo Fournie)
L'événement qui s'est déroulé à Ithra a permis de découvrir des musiques de Guild Wars 2, World of Warcraft, The Witcher 3 et Assassin's Creed 2, entre autres. (Photo Fournie)
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  • Le spectacle orchestral célèbre les bandes sonores des jeux vidéo les plus populaires et tente de leur insuffler une nouvelle vie.
  • Le concert comprend des arrangements symphoniques et des images HD du jeu.

DHAHRAN : le Centre du roi Abdulaziz pour la culture mondiale a ouvert ses portes à un événement jeudi.

Tous les soirs au théâtre Ithra (deux représentations sont prévues vendredi), le spectacle orchestral célèbre les bandes sonores des jeux vidéo les plus populaires et tente de leur insuffler une nouvelle vie.

Le concert propose des arrangements symphoniques associés à des images HD du jeu et à des illustrations exclusives de titres populaires tels que League of Legends, Overwatch, Assassin's Creed et The Witcher 3. ***

L'événement a permis de découvrir des musiques de Guild Wars 2, World of Warcraft, The Witcher 3 et Assassin's Creed 2, entre autres. (Photo Fournie)
L'événement a permis de découvrir des musiques de Guild Wars 2, World of Warcraft, The Witcher 3 et Assassin's Creed 2, entre autres. (Photo Fournie)

Sergey Smbatyan, fondateur de l'Orchestre symphonique d'État d'Arménie, directeur artistique et chef d'orchestre principal depuis 2005, était présent pour fournir un contexte et des commentaires entre les partitions lors de la soirée d'ouverture.

Avant le spectacle, il s'est adressé à la foule : « Si vous n'êtes pas un joueur, imaginez que vous êtes dans un musée, un musée d'art, mais au lieu qu'un conservateur vous parle des images que vous allez voir sur cet immense écran, laissez ces musiciens vous raconter exactement cette histoire.

« Ce soir, il n'y a pas de bon moment pour applaudir ; il n'y a pas de mauvais moment pour applaudir. Si vous entendez quelque chose que vous aimez de la part de ces musiciens (il fait un geste vers l'orchestre installé sur scène), faites-le-nous savoir.

« Nous allons commencer ce soir par des jeux de rôle, ou RPG, dans lesquels les joueurs incarnent des personnages dans un cadre fictif. Le jeu est axé sur la narration interactive, la prise de décision et la stratégie. »

Paul Blay, un habitant de Dhahran, a emmené ses deux filles, Sylvia, 11 ans, et Celeste, 10 ans, au spectacle.

Père de six enfants, M. Blay a déclaré à Arab News : « Je reçois des courriels à propos d'Ithra : "Je reçois des courriels sur les événements d'Ithra et j'ai vu celui-ci. J'ai pensé que ce serait amusant pour moi et les filles d'y aller. Comme avec toute personne que j'aime, j'ai partagé avec elles les choses que j'apprécie. »

La famille Blay s'est installée dans le Royaume l'année dernière et souhaitait assister à un événement mêlant jeux et musique.

Celeste a déclaré à Arab News : « J'aime beaucoup la musique des jeux vidéo ; elle est vraiment belle et j'aime l'écouter. C'est un peu ce qui m'a poussée à venir ici. Et puis, mon père aime les jeux vidéo. »

Les sœurs Blay, plus âgées, ont toutes deux pris des cours de musique et jouent de plusieurs instruments, dont le piano, la harpe et la clarinette.

Leur père a déclaré : « La plupart des meilleures musiques composées de nos jours le sont pour des films et des jeux vidéo. Je m'attendais à ce qu'elle soit de très bonne qualité ici, à Ithra ».

Au cours de l'événement, des musiques issues de Guild Wars 2, World of Warcraft, The Witcher 3 et Assassin's Creed 2, entre autres, ont été jouées.

Le dernier concert aura lieu le 5 avril, avec des billets à partir de 200 SR (53 $), disponibles sur place ou sur le site web d'Ithra.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Un programme saoudien de formation d'enseignants d'arabe langue seconde est mis en place dans une université américaine

Campus de l'université de l'Indiana à Bloomington. (X/@Marelbu)
Campus de l'université de l'Indiana à Bloomington. (X/@Marelbu)
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  • Le programme de la KSGAAL vise à renforcer les compétences des enseignants et des étudiants.
  • Il s'inscrit dans le cadre d'efforts plus larges visant à normaliser l'enseignement et l'évaluation de la langue arabe.

RIYAD : Un nouveau programme forme des enseignants d'arabe comme deuxième langue à l'université de l'Indiana, aux États-Unis.

Lancé par la King Salman Global Academy for Arabic Language, ce cours se déroulera jusqu'au 8 avril et constitue la deuxième phase d'un projet visant à former les enseignants.

Abdullah Al-Washmi, secrétaire général de la KSGAAL, a déclaré que ce programme s'inscrivait dans le cadre des efforts continus déployés par l'académie pour améliorer les compétences des enseignants et des étudiants en langue arabe.

La KSGAAL se concentre sur l'amélioration de la qualité de l'enseignement et sur l'introduction d'une évaluation linguistique standardisée, a ajouté M. Al-Washmi. 

Il a déclaré que, grâce à sa collaboration avec l'université de l'Indiana, la KSGAAL s'engageait à favoriser les échanges universitaires et l'intégration des meilleures pratiques mondiales en matière d'enseignement de la langue arabe.

Le secrétaire général a ajouté que le test Hamza renforçait la position mondiale et académique de la langue arabe en fournissant un modèle d'évaluation standardisé basé sur des critères internationaux.

Il offre une mesure fiable des compétences linguistiques, ce qui permet aux universités et aux établissements d'enseignement du monde entier de s'y référer pour l'admission des étudiants et l'évaluation de leurs aptitudes.

M. Al-Washmi a ajouté : « Le test stimule la recherche scientifique dans le domaine de la langue arabe grâce aux données analytiques dérivées de ses résultats, qui contribuent à l'élaboration de programmes d'enseignement plus efficaces.

« Le test facilite la reconnaissance internationale de l'arabe en tant que langue mondiale pouvant être évaluée selon les normes du CECR, favorisant ainsi son inclusion dans les cadres universitaires et professionnels mondiaux.

Le plan de l'académie pour les évaluations de la langue arabe repose sur plusieurs piliers clés : la législation et l'accréditation pour garantir la reconnaissance officielle et la fiabilité, ainsi que la sensibilisation et la durabilité pour rendre le test accessible au plus grand nombre.

M. Al-Washmi a déclaré : « Nous nous engageons dans l'innovation et le développement pour améliorer les mécanismes d'évaluation et l'expérience des candidats. 

Le programme d'évaluation linguistique du KSGAAL a progressé conformément à la stratégie établie, a déclaré M. Al-Washmi, positionnant l'Arabie saoudite, par l'intermédiaire de l'académie, comme une référence internationale en matière d'enseignement, d'apprentissage et de pratiques d'évaluation de la langue arabe.

Le programme de l'université de l'Indiana comprend un module d'introduction aux évaluations linguistiques et au test Hamza, ainsi qu'un cours de formation spécialisé pour les professeurs d'arabe dont la langue maternelle n'est pas l'arabe.

Le programme comprend un séminaire scientifique intitulé « Saudi Arabia's Efforts in Teaching Arabic to Non-Native Speakers » (Les efforts de l'Arabie saoudite dans l'enseignement de l'arabe aux locuteurs non natifs). 

Les participants prendront également part à une session pratique du test Hamza, conçue pour approfondir leur compréhension des mécanismes d'évaluation des langues et de leur rôle dans l'évaluation des compétences linguistiques des apprenants.

Cette initiative s'inscrit dans la stratégie de la KSGAAL visant à renforcer la langue arabe et à améliorer sa présence dans les institutions universitaires internationales. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com